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Sécurité à vélo : l’équipement pour rouler en toute confiance

Explorez l’équipement indispensable à vélo pour garantir votre protection, de la tête aux pieds.

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Pourquoi la sécurité à vélo est essentielle ?

Rouler à vélo, c’est le plaisir de l’aventure en plein air, de la découverte des paysages à son rythme, et du vent dans les cheveux (ou plutôt sous le casque, on est d’accord). Mais même pour les plus expérimentés, la route peut parfois réserver des surprises. Alors, pourquoi prendre des risques quand il est si simple de s’équiper pour rouler en toute confiance ?

Que vous soyez adepte des trajets quotidiens en ville ou des longues escapades en pleine nature, la sécurité reste votre meilleure alliée. Investir dans le bon équipement ne se limite pas à cocher des cases : c’est garantir que chaque sortie se déroule sans accroc, et que vous puissiez profiter pleinement de chaque sortie. Parce qu’après tout, l’idée, c’est de voyager léger, mais de rouler serein, non ?

Les avantages d’une bonne protection pour vos sorties à vélo

On ne va pas en faire des tonnes, mais il faut le dire : l’équipement, ça change tout. Les statistiques parlent d’elles-mêmes : un trafic vélo en hausse de 75 % entre 2013 et 2022.

Résultat ? Des routes où cyclistes et automobilistes cohabitent plus que jamais. La sécurité est donc primordiale pour profiter pleinement de cette liberté à deux roues, et éviter les imprévus.

On vous a fait un petit schéma qu’on vous détaille dans cet article.

Illustration des équipements obligatoires et recommandés à vélo
© La Trace - Les équipements obligatoires et recommandés à vélo

L’équipement de sécurité indispensable pour tous les cyclistes

Parmi les équipements essentiels, il y a ceux qui vous protègent en cas de chute, ceux qui vous rendent visible et ceux qui vous aident à anticiper les dangers.

Le casque : votre meilleur allié

Casque de vélo jaune accroché à son cadre
AdobeStock - Casque de vélo jaune

Le casque est sans conteste l’élément de sécurité le plus crucial à porter en toute situation. Il protège efficacement votre tête en cas de chute et diminue considérablement les risques de blessures graves. Bien plus qu’un simple accessoire, c’est un véritable bouclier pour votre tête lorsque vous êtes sur la route.

En cas de chute, il empêche à votre tête d'absorber tout l'impact, ce qui peut réduire jusqu'à 85 % les risques de traumatisme crânien ou cérébral grave.

Comment choisir un casque vélo conforme aux normes ?

Pour choisir un casque de qualité, il faut avant tout s’assurer qu’il respecte les normes de sécurité. En Europe, un bon casque doit être conforme à la norme EN 1078, qui garantit qu’il protège efficacement lors d’un impact.

La Tehcnologie MIPS

Certains casques vont encore plus loin en intégrant la technologie MIPS (Multi-directional Impact Protection System), qui offre une protection supplémentaire en cas de rotation de la tête lors d’une chute.

Imaginez que votre tête soit comme un œuf, et que le casque est la coquille qui le protège. Si vous faites tomber l’œuf droit sur le sol, la coquille peut se casser, et l’intérieur de l’œuf risque aussi d’être abîmé par le choc.

Dans un casque avec MIPS, il y a une petite couche spéciale qui peut bouger légèrement, un peu comme un glissement. Donc, si vous tombez et que votre tête frappe le sol de côté ou en tournant, cette couche bouge légèrement pour réduire l’impact. Elle agit comme un coussin qui diminue la force du choc sur votre cerveau, offrant ainsi une meilleure protection. En somme, le MIPS rend le casque encore plus efficace pour absorber les chocs !

Dans tous les cas, pour être certain de faire le bon choix, optez pour des marques certifiées et des casques qui respectent ces critères.

Un casque conforme doit aussi obligatoirement afficher : le marquage CE, le nom et l'adresse du fabricant, la référence de la norme, la taille et le poids, l’année de fabrication, ainsi que le modèle et le type de casque.

💡Astuce : certains casques ont la double homologation pour le vélo et pour le ski.

Choisir le bon casque vélo

Plusieurs critères importants sont à prendre en compte quand l’on choisi son casque de protection.

À savoir :

  • La taille : c’est avant tout une question de sécurité. Un casque à la bonne taille aura moins de chance de tomber lors d’une chute.
  • La protection contre les chocs : votre casque doit être là pour protéger votre tête contre les chocs, et ça se fait grâce à une coque solide, souvent conçue en un seul bloc. Certains modèles vont encore plus loin, avec des coques plus couvrantes sur la nuque et les côtés pour une protection accrue. Et pour les plus technophiles, certains casques intègrent la technologie MIPS, une révolution en matière de sécurité, déjà adoptée par des pros comme ceux du Tour de France. Parce qu’une tête protégée, c’est une tête en sécurité !
  • La visibilité : quand vous êtes à vélo, vous êtes peut-être le roi de la route, mais vous n’êtes pas seul ! C’est pourquoi la visibilité est essentielle. Des bandes réfléchissantes sur votre casque et un éclairage LED à l'arrière, et hop, vous êtes vu de loin, même à la tombée de la nuit. Un petit plus pour éviter les mauvaises surprises et un must-have pour tous ceux qui roulent tôt le matin ou tard le soir.
  • Le confort : si votre casque est à la bonne taille il sera déjà plus confortable. Mais ce n’est pas le seul paramètre à prendre en compte pour s’y sentir bien. Il doit épouser parfaitement votre tête, grâce à une mousse intérieure douce et un périmètre crânien réglable. Et ça, c’est le secret pour rouler sans ressentir de gêne.
  • La ventilation : la chaleur ? Oubliez ! Grâce aux trous d’aération stratégiquement placés, votre tête respire. Pas de sensation de cuisson sous le casque, et adieu les démangeaisons en plein effort. Bon, soyons clairs : plus il y a de ventilation, plus votre casque a un look de pro, mais surtout plus il sera agréable à porter, été comme hiver (peut-être avec un petit bonnet en dessous). Donc oui, le confort passe aussi par la ventilation, mais n’oubliez pas d’y ajouter une petite touche de style pour le combo gagnant !

Dernier critère mais pas des moindres pour le confort : pensez légèreté ! Un casque léger, c’est un casque qu’on oublie ! Moins il pèse, moins il vous gênera lorsque vous le porterez longtemps.

Mesurer son tour de tête pour un casque de vélo à votre taille

Avant de partir à l’aventure, assurons-nous d’avoir un casque qui tient la route (et la tête) ! Première étape : connaître son tour de tête.

Pour ça, sortez un mètre ruban de couturière (vous savez, celui qui traîne au fond de la boîte à couture). Enroulez-le autour de votre tête en démarrant au milieu du front, environ 2 à 3 cm au-dessus des sourcils. Passez-le ensuite sur la bosse à l'arrière de votre crâne. Attention, ne serrez pas trop, on n’est pas en train de jouer au headband trop tendance des années 90.

Le truc pratique : le point où le mètre rejoint le zéro, c’est votre tour de tête ! Si vous n’avez pas de mètre souple, pas de panique. Une ficelle ou un lacet fait l'affaire, il suffira ensuite de mesurer ça avec une règle.

💡Petit bonus : utilisez un miroir pour vérifier que vous n’êtes pas en train de mesurer votre cou !

Pour les petits cyclistes en herbe, il y a des modèles dès 9 mois, pour des tours de tête à partir de 45 cm. Ensuite, ça évolue avec des tailles pour les 3 à 6 ans (47 à 53 cm) et pour les plus grands, de 6 à 12 ans (52 à 56 cm).

À lire aussi : 🎒BLOG | Voyager à vélo avec des enfants : l’équipement essentiel pour les transporter

Comment ajuster mon casque vélo ?

Un casque, ça se choisit avec soin, mais ça se règle aussi pour qu’il fasse son job ! Un casque mal ajusté, c’est un peu comme un vélo sans roues : ça ne sert à rien. Pour le réglage parfait, placez-le juste au-dessus des sourcils pour couvrir le sommet du crâne.

Vérifiez que la jugulaire soit bien attachée, ni trop serrée ni trop lâche, pour que le casque reste bien en place sans vous gêner. Et, surtout, pour le confort, privilégiez un modèle avec des coussinets intérieurs amovibles et lavables : un casque agréable, c’est un casque qu'on a envie de porter à chaque sortie !

Attention, il ne doit pas être trop en arrière, il doit se tenir bien horizontal pour protéger votre front. Une fois bien ajusté, il ne doit y avoir que deux doigts d’espace entre le casque et vos sourcils.

Les sangles, elles, doivent former un "V" juste sous vos oreilles. Et pour la jugulaire, elle doit être ajustée de façon à pouvoir y passer juste un doigt.

Alors, comment savoir si tout est OK ? Secouez la tête comme si vous disiez « oui » ou « non ». Si le casque reste bien en place, vous êtes bon pour la route ! Et n'oubliez pas : si vous sentez des points de pression sur vos tempes ou votre front, il est peut-être temps de revoir l’ajustement. Un casque bien ajusté, c’est aussi un casque qui vous protège tout en étant confortable.

Notre coup de coeur

Entrez dans l'ère du casque 2.0 avec les couvre-casques Helmut !

Parce que sécurité peut aussi être mère de style, on vous présente Helmut. C’est l’acteur qui bouscule l'univers du vélo avec une touche de fantaisie que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Sécurité, ou style… pourquoi choisir quand on peut faire les deux ? Il est temps de mettre des paillettes vos vies !


Image de 3 différents modèles de couvre-casque de la marque Helmut
©Helmut - Couvres-casques de la marque Helmut

Le port du casque à vélo est-il obligatoire ?

En mars 2017, un décret a rendu le port du casque obligatoire pour tous les enfants de moins de 12 ans, qu'ils soient conducteurs ou passagers d'un vélo. Cette règle s'applique également aux enfants transportés dans des remorques. Ainsi, que l'enfant soit à l’avant ou à l’arrière du vélo, il doit porter un casque à sa taille.

Bien qu'il soit fortement conseillé pour les adultes, le port du casque reste facultatif pour les cyclistes de plus de 13 ans.

Être visible à vélo

Quand on roule à vélo, l’équipement de sécurité ne s’arrête pas au casque. En effet, la visibilité est tout aussi importante, que ce soit en plein jour ou dès que la nuit tombe. Après tout, si les autres ne vous voient pas, c’est un peu plus compliqué de rouler sereinement…

Pourquoi la visibilité est cruciale, de jour comme de nuit

Quand vous êtes bien visible, vous réduisez les risques d’accident en permettant aux autres usagers de mieux vous repérer. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas seulement la nuit qu'il faut être vigilant : en plein jour, surtout dans des conditions de faible luminosité (lors des journées grises ou sous un ciel couvert), vous êtes bien mieux vu avec des vêtements qui captent la lumière. Un gilet réfléchissant et/ou des bandes réfléchissantes sur vos bras et jambes peuvent vraiment changer la donne et vous permettre de rouler en toute tranquillité.

Types de vêtements et accessoires pour être vu à vélo

Être vu à vélo, c’est plus qu'une question de style, c’est une question de sécurité ! Heureusement, il existe une multitude de vêtements et d’accessoires réfléchissants qui vous permettent de briller (littéralement) sur la route.

Le gilet réfléchissant

Ah, le gilet réfléchissant, ce bon vieux basique qu’on sous-estime parfois mais qui reste un indispensable de la panoplie cycliste. C’est simple : que le ciel soit gris, que la nuit s’installe ou qu’un brouillard vous surprenne, ce gilet est votre meilleur allié pour rester visible.

Pratique, léger, et conçu pour s’enfiler par-dessus n’importe quelle tenue, il ne vous laissera jamais tomber !

Le classique « gilet jaune » est sans doute le plus connu. Économique, simple à utiliser, et équipé d’une attache en velcro (pratique pour l’enlever en un clin d'œil), il s’adapte même aux gros manteaux ou petits sacs à dos. Parfait pour des trajets rapides en ville, il coche toutes les cases côté sécurité, surtout si vous partez pour une escapade en soirée.

Et parce que la réglementation, ça compte : un gilet de signalisation conforme à la norme européenne EN1150 est obligatoire pour rouler hors agglomération, à la tombée de la nuit ou en cas de brouillard. Donc, n’oubliez pas de cocher cette case si vous vous aventurez hors des sentiers battus.

Pour les aventuriers au long cours, type cyclotouristes, il existe des options encore plus abouties. Pensez aux gilets réfléchissants coupe-vent : non seulement ils améliorent la liberté de mouvement, mais ils offrent aussi une meilleure respirabilité. Bref, parfaits pour les longues randonnées où vous cherchez à rester visible sans suffoquer !

💡 Il existe des gilets avec des LED qui envoient des signaux lumineux directement sur votre dos. Pratique pour être visible de très loin et capter l’attention des automobilistes, même dans des conditions de visibilité réduite. Plus d'excuse pour ne pas être vu !

Brassards réfléchissants

Les brassards réfléchissants, c’est le complément idéal pour ceux qui veulent assurer une visibilité à 360 degrés.

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Faciles à glisser autour de vos bras ou de vos chevilles, ils ajoutent un élément de sécurité visible à chaque coup de pédale. Ultra-légers et réglables, ils sont parfaits pour les trajets de jour comme de nuit.

Réflecteurs de rayons

Vous cherchez une manière stylée de vous rendre visible ? Les réflecteurs pour roues de vélo se fixent sur les rayons et créent un jeu de lumière captivant quand vous pédalez. Ils reflètent les phares des voitures, garantissant que votre présence ne passe pas inaperçue. En plus, ces petits accessoires sont résistants aux intempéries et tiennent sur la durée, que ce soit sous la pluie, en pleine chaleur ou même dans la neige.

Photographie de réflecteurs de vélo posés sur roue
Réflecteurs de rayon vélo

💡Astuce : ils existent en plusieurs coloris pour donner à votre vélo une touche unique !

Une multitudes d’alternatives pour être visible sur la route

Pensez aux lumières LED à clipser sur votre casque ou votre sac à dos, aux housses de sac à dos réfléchissantes, aux pédales à lumières ou même aux chaussures avec éléments rétro-réfléchissants. Les possibilités sont presque infinies.

Choisir les éclairages adaptés à ma pratique et ma monture

Que ce soit en ville ou sur des parcours plus isolés, un bon éclairage est crucial pour voir et être vu. Cela devient d’autant plus vrai à la tombée de la nuit, par temps de brouillard ou lors de journées pluvieuses, où la visibilité est souvent réduite.

Un éclairage efficace peut non seulement prévenir les accidents, mais aussi vous offrir une meilleure perception de l’environnement, en vous permettant de repérer les obstacles plus tôt.

Comment choisir votre feu de vélo ?

Pour cela plusieurs critères :

  • L’intensité lumineuse et la capacité d’éclairage.
  • Le mode d’alimentation et la durée de la batterie.
  • Les options de fixation disponibles.
  • Les éclairages adaptés à votre besoin.

Comprendre la puissance et la luminosité de vos éclairages de vélo

Pour rouler en toute sécurité, il est essentiel de savoir de quoi sont capables vos éclairages. La bonne nouvelle, c’est que la plupart des feux de vélo modernes utilisent la technologie LED. Résultat : un éclairage plus puissant, qui consomme moins d'énergie.

Mais parlons un peu technique, avec deux unités à connaître : le LUMEN et le LUX.

  • Le lumen indique le flux lumineux, c’est-à-dire l’intensité de la lumière émise par votre éclairage. En d'autres termes, plus il y a de lumens, plus votre lumière est éclatante.
  • Le lux, lui, représente l’éclairement. Il s’agit de la quantité de lumière qui atteint une surface donnée. En clair, ça vous dit à quel point votre lumière est efficace pour éclairer la route devant vous.

Ces notions vous aideront à choisir le bon équipement, adapté à vos besoins.

En ville, avec des lampadaires qui illuminent déjà les rues, l’objectif principal est de s'assurer que les autres vous voient bien. Pour cela, un éclairage avant et un éclairage arrière sont indispensables. Ils signalent votre présence aux automobilistes, piétons, et autres cyclistes, et vous permettent d’être plus serein.

Pour des trajets urbains classiques, un phare de 10 lux fait le boulot. Mais si vous voulez vraiment briller (et être vu de loin), misez sur des feux plus costauds. Non seulement ça vous rend plus visible, mais ça assure votre visibilité en cas de météo capricieuse : pluie, brouillard, neige, tout le bazar.

Et si vous prévoyez de traverser des zones où la lumière se fait rare, un bon phare avant de 50 lux, ou plus, devient indispensable.

Le fléau du vol de vélo en France

Chaque année, en France, environ 580 000 vélos sont volés (enquête EMP 2019) – un chiffre qui grimpe en flèche à mesure que la pratique du vélo se démocratise. Avec l’engouement croissant pour la mobilité douce, les voleurs aussi, eux, se mettent à pédaler. Et si vous pensez que cela ne vous arrivera pas, détrompez-vous : 1 cycliste sur 2 s'est déjà fait voler son vélo. Alors, on vous conseille de ne pas laisser votre précieuse monture sans protection.

Choisir le bon antivol pour son vélo

Saviez-vous que 65% des vélos volés n’avaient qu’une seule protection ? Les voleurs privilégient en effet les vélos les moins sécurisés, c’est pourquoi il est essentiel d’investir dans un antivol solide. On recommande généralement d'allouer 15% du prix de votre vélo à la protection, avec un minimum de 30€ – un investissement vite rentabilisé, croyez-nous !

Les antivols U

L’antivol U, c’est la base. C’est le plus efficace et celui qui dissuade le mieux les voleurs. Même un antivol U bas de gamme sera plus sécurisé qu’un simple câble, alors ne lésinez pas sur cette protection essentielle.

La chaîne antivol

Les chaînes antivol offrent une bonne protection et permettent de fixer facilement votre vélo à un mobilier urbain. Pour une sécurité optimale, optez pour une chaîne avec des maillons de 8 mm minimum. L’idéal ? Complétez-la avec un antivol U : la chaîne protège les roues, et le U sécurise le cadre.

Le câble antivol

Les câbles sont à utiliser en complément d’un antivol plus robuste, comme un U ou un U pliant. Utilisés seuls, ils ne sont pas vraiment efficaces, donc mieux vaut les réserver pour renforcer votre protection. Si vous choisissez un câble, assurez-vous qu’il ait un diamètre de plus de 10 mm pour plus de résistance.

Les antivols avec alarme, en complément

Un antivol avec alarme, c’est l’option qui surprend le voleur ! Avec un volume sonore de 100 à 120 db, l’alarme va faire du bruit (comme un marteau-piqueur) pour dissuader celui qui tente de couper votre antivol. Ces modèles sont disponibles sous diverses formes et sont un excellent moyen de sécuriser davantage votre vélo.

Les bons réflexes pour garer son vélo

  • Toujours attacher votre vélo à un point fixe
  • Si possible, attacher votre cadre et votre roue avant ensemble au point fixe. Un U avec câble peut vous y aider.
  • Favoriser le stationnement au niveau d’un regroupement de vélos

Ne laissez rien au hasard pour garder votre vélo en sécurité !

Rouler en toute sécurité pour mieux profiter

La sécurité à vélo, ce n’est pas juste une question de se protéger, c’est aussi une manière de profiter pleinement de chaque sortie. Des accessoires, et équipements, adaptés à votre besoin et votre pratique peuvent vraiment faire la différence sur la route.

Surtout dans les situations les plus imprévues.

Conclusion

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